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Le retour de Vîrus s’annonce lugubre

Deux minutes à peine d’un morceau inédit envoyé gracieusement à la plèbe. Deux minutes c’est peu et pourtant bien assez pour (re)marquer au fer rouge une identité atypique. Entre quotidien morne et humour (au charbon) noir, Vîrus n’a rien perdu. Ni le sens de la formule, ni le regard cynique porté sur l’époque. Deux minutes, c’est finalement largement assez pour écarter du pied la médiocrité environnante. « Tu veux de l’amour ? Mets le prix ou quitte la chambre avant midi. » On guette la suite, non sans impatience. Et pas uniquement « histoire de. »