Deeper Than Rap

Birdman, le Puff Daddy de la Nouvelle-Orléans ?

Jean-Baptiste Le Moyne de Bienville l’a peut-être fondée, mais le vrai papa de La Nouvelle-Orléans, c’est Brian Williams. Bébé devenu homme-oiseau, il plane au-dessus d’un empire familial qui s’étend aujourd’hui bien au-delà des dix-sept wards. Entre deal à trente millions de dollars, coups tordus et esthétique bling-bling, Le Captain Nemo vous fait visiter les coulisses fascinantes de Cash Money Records.

Quant à Mehdi, s’il démarre ce vingt-deuxième #DTR avec les fantômes de Young Money et la période Sqad Up de Lil Wayne, il s’attarde en fin d’émission sur l’itinéraire atypique de l’éternel ex-futur Nas. Des Magnolia Projects au Londres de Kate Rothschild, en passant par le Detroit de J. Dilla, le RAP GAME HOBO réussit un tour de magie digne d’Alfred Borden : influencer certains piliers de la génération actuelle comme Lil B et Kendrick Lamar, malgré une discographie désespérément sporadique.

Birdman et Jay Electronica, vous avez dit grand écart ?

Playlist :

  1. Lil’ Wayne – « Down For My Niggas »
  2. Birdman & Rick Ross – « Flashy Cars Movie Stars (intro) »
  3. Birdman & Lil Wayne – « Like Father Like Son »
  4. Big Tymers – « Pimp On (feat. Unplugged) »
  5. Birdman – « Looks Like A Job 4… »
  6. Jay Electronica – « Exhibit C »
  7. Jay Electronica – « Dear Moleskine »

 

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2 commentaires

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  • Flo,

    Fort intéressant malgré un petit manque d’organisation par moment, on s’est éloigné vachement de Cash Money. Un peu plus cadré aurait été sympa ou alors splitter le sujet en deux.
    Sinon des intervenants qui savent de quoi ils parlent

  • OG kéké,

    Excellente émission, continuer les mecs . Plein d’anecdotes intéressantes . Franchement bravo.