La sortie d’Ateyaba – premier album de Joke – marque un certain aboutissement pour le rappeur de MTP comme pour sa garde rapprochée. Focus sur un album marquant avec Blastar, producteur éclectique, et membre à part entière de cet entourage proche.

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La montée en pression aura été progressive. Mais avec deux gros EPs – Kyoto puis Tokyo – en à peine deux ans, Joke a affirmé une identité singulière. Et une esthétique forte portée par des influences éparses soutenue par une équipe élargie de producteurs. La sortie d’Ateyaba, son premier album, marque un certain aboutissement pour le rappeur de MTP comme pour sa garde rapprochée. Producteur éclectique derrière quelques-uns des meilleurs morceaux de Tokyo, Kyoto et Ateyaba – mais aussi fournisseur de son pour plusieurs têtes d’affiche de la scène hexagonale – Blastar fait partie de cet entourage proche.

Pour cette émission estivale centrée autour du projet Ateyaba, il nous semblait logique d’associer Blastar à Joke pour célébrer le travail d’équipe – Gregg Popovich likes this. En quarante minutes, on est également revenus sur un paquet de sujet annexes. De Max B à Dr. Dre, de leurs influences au rêve japonais, de Therapy à Booba. Fin du mois de juin oblige, on ne pouvait rater l’occasion de dresser au passage un premier bilan des six derniers mois écoulés, en portant un regard particulier sur quelques-uns des événements forts passés outre-Atlantique. Installe-toi confortablement, paie ta pression fraîche et coupe ton portable, c’est ton moment de décompression.

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